- Les cyanobactéries sont des
espèces invasives qui viennent changer les données. En Mauricie et aussi
partout au Québec, cette bactérie est venue se logée dans nos lacs. Pendant un certain
temps, l’eau est devenue non potable et conséquemment, les résidents ne
pouvaient plus s’approvisionner dans les lacs touchés. L’homme est en partie
responsable de cette problématique qui est causé lorsque l’engrais mis en
bordure de lac, se ramasse dans celui-ci. Les bactéries se développent alors et
contaminent la zone. Notons que ces espèces peuvent même être nocives pour la
baignade. Ce problème touche donc la qualité de l’eau, mais elle vient aussi
empêcher des transferts d’eaux.
La qualité est un élément important
puisque sans ce facteur, certaines exportations sont impossibles. Nous avons
tendance à surestimer nos réserves d’eaux puisqu’effectivement, le Canada et le
Québec sont des endroits où les ressources sont abondantes. Cependant, il ne
faut pas prendre pour acquis nos réserves et en tant que citoyen, nous devons
axer nos comportements sur un aspect plus écologique. Voici un exemple qui
illustre bien la question de quantité :
- Combien nous est-il arrivé de voir
ou de nous surprendre nous-même, à arroser notre asphalte pour lui donner un
aspect meilleur? Ces derniers temps, depuis la fonde de la neige, il m’est
arrivé de voir quelques voisins arroser la neige sur leur terrain afin de la
faire diminuer. Nous voyons ce type de comportement beaucoup moins qu’auparavant,
heureusement! Mais nous devons ancrer dans la mentalité des citoyens que, même
si ça ne nous coûte rien et que nous vivons dans une situation d’abondance,
nous ne devons pas prendre l’eau pour acquis. L’homme doit donc travailler sur
un comportement qui favorise l’eau et qui est axé sur le développement durable.
Pour conclure, on se rend finalement
compte que la qualité et la quantité de l’eau repose, entre autres, sur le
comportement et la mentalité de la société. Nous devons donc se poser la
question «qu’est-ce que je peux faire pour préserver l’eau» et non «qu’est-ce
que la société peut faire pour préserver l’eau». Il faut donc continuer de
conscientiser la population à adopter des pratiques qui sont bénéfiques pour le
développement durable de notre ressource en or bleu!
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