vendredi 4 mai 2012

La controverse

Concernant mon sujet, la principale controverse se situe au niveau du contrôle de la qualité versus la quantité. L'ampleur est mise sur les quantités et on se préoccupe beaucoup de ce qui entoure le volume. Cependant, nous ne devons pas minimiser l’importance de la qualité, puisqu’elle joue un rôle très important, voir plus que la quantité. Voici un cas qui réduit la qualité de l’eau :

- Les cyanobactéries sont des espèces invasives qui viennent changer les données. En Mauricie et aussi partout au Québec, cette bactérie est venue se logée dans nos lacs. Pendant un certain temps, l’eau est devenue non potable et conséquemment, les résidents ne pouvaient plus s’approvisionner dans les lacs touchés. L’homme est en partie responsable de cette problématique qui est causé lorsque l’engrais mis en bordure de lac, se ramasse dans celui-ci. Les bactéries se développent alors et contaminent la zone. Notons que ces espèces peuvent même être nocives pour la baignade. Ce problème touche donc la qualité de l’eau, mais elle vient aussi empêcher des transferts d’eaux.

La qualité est un élément important puisque sans ce facteur, certaines exportations sont impossibles. Nous avons tendance à surestimer nos réserves d’eaux puisqu’effectivement, le Canada et le Québec sont des endroits où les ressources sont abondantes. Cependant, il ne faut pas prendre pour acquis nos réserves et en tant que citoyen, nous devons axer nos comportements sur un aspect plus écologique. Voici un exemple qui illustre bien la question de quantité :

- Combien nous est-il arrivé de voir ou de nous surprendre nous-même, à arroser notre asphalte pour lui donner un aspect meilleur? Ces derniers temps, depuis la fonde de la neige, il m’est arrivé de voir quelques voisins arroser la neige sur leur terrain afin de la faire diminuer. Nous voyons ce type de comportement beaucoup moins qu’auparavant, heureusement! Mais nous devons ancrer dans la mentalité des citoyens que, même si ça ne nous coûte rien et que nous vivons dans une situation d’abondance, nous ne devons pas prendre l’eau pour acquis. L’homme doit donc travailler sur un comportement qui favorise l’eau et qui est axé sur le développement durable.

Pour conclure, on se rend finalement compte que la qualité et la quantité de l’eau repose, entre autres, sur le comportement et la mentalité de la société. Nous devons donc se poser la question «qu’est-ce que je peux faire pour préserver l’eau» et non «qu’est-ce que la société peut faire pour préserver l’eau». Il faut donc continuer de conscientiser la population à adopter des pratiques qui sont bénéfiques pour le développement durable de notre ressource en or bleu!

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